Mot de la présidence

Chères et chers philanthropes, amies et amis, partenaires

Quel immense privilège d’avoir pu compter sur votre confiance et votre engagement au fil de la dernière année. 

Depuis le lancement de notre campagne de financement historique en juin 2023, nous nourrissons ensemble l’ambition de voir grand pour les mères, les enfants et les familles du CHU Sainte-Justine. Force est de constater que les équipes ont plus que jamais le vent dans les voiles, et c’est bien grâce à vous ! 

Chaque jour, vous concrétisez de petites et grandes révolutions en soins et en recherche pédiatriques. Ces avancées repoussent les limites du possible et métamorphosent des vies, dès aujourd’hui et pour demain, partout au Québec et même au-delà.   

Ce rapport met en lumière l’impact de quelques-unes des nombreuses initiatives nées de votre générosité des derniers mois. Transformatrices, elles incarnent et propulsent le meilleur du CHU Sainte-Justine : ses soins uniques, ses approches humaines, ses talents exceptionnels et ses technologies de pointe.   

De tout cœur, j’espère que vous tirerez fierté de prendre part à un projet aussi fédérateur pour le futur de la santé des enfants, celui de toute notre société.  

Voir Grand ensemble,  
c’est aller plus loin, 
c’est multiplier l’espoir,  
c’est élargir les horizons, par milliers.  

Au nom des enfants et des familles de partout au Québec, et au nom des équipes de soins et de recherche dont le dépassement quotidien prend appui sur tous vos gestes rassemblés,  

MERCI d’être là ! 

Delphine Brodeur

Delphine Brodeur

Présidente et directrice générale  
Fondation CHU Sainte-Justine 

Vous donnez aux soignants les moyens de voir grand pour tous les enfants

Équipements de pointe

Santé de précision et technologie vont de pair. Cette année, vous avez fait front commun avec les soignants en les dotant d’équipements de pointe qui transformeront l’offre de soins. Cela se traduit tantôt par une prise en charge accélérée tantôt des traitements plus ciblés, entraînant une réduction des effets secondaires, une récupération plus rapide et davantage de prévention.

Surtout, cela signifie que les enfants peuvent retourner à leur vie d’enfant plus rapidement.  

Atteinte d’une tumeur qui menaçait sa vie, la petite LilyRose, 18 mois, a pu éviter une greffe de foie grâce à une chirurgie complexe qui n’aurait pas pu être réalisée sans la technologie d’imagerie par fluorescence.

L’imagerie par fluorescence : l’alliée des chirurgiens

Visualiser des tumeurs avec précision pour mieux les opérer : voilà seulement l’une des nombreuses applications possibles de la technologie d’imagerie par fluorescence que vous avez permis d’acquérir. Cet équipement essentiel servira dans une multitude d’interventions chirurgicales et a déjà permis de transformer le pronostic d’enfants gravement malades.

  • Votre générosité brille dans le quotidien des soignants et de leurs petits patients

    Cette année, vos dons ont permis de financer un nouvel équipement qui propulsera le CHU Sainte-Justine à l’avant-plan de la chirurgie pédiatrique : la technologie d’imagerie par fluorescence.

    Déjà utilisée chez l’adulte, cette technologie novatrice fait partie des pratiques gagnantes de chirurgie : elle sert aussi bien en oncologie, en gastroentérologie, en chirurgie plastique qu’en chirurgie du foie, pour ne nommer que ceux-là.

    Le principe est simple : par exemple, dans le cas d’une tumeur au foie à opérer, on utilise l’appareil pour bien localiser les parties malades :

    • Un liquide fluorescent inoffensif pour l’humain est injecté dans le patient.
    • En salle d’opération, l’équipe peut visualiser la zone à opérer à l’aide d’un scanner à main : les parties atteintes s’illuminent sur un écran.
    • On peut alors procéder à l’intervention et enlever les parties malades tout en protégeant au maximum les tissus sains autour.
    • Avant de finaliser l’intervention, on peut confirmer en temps réel la présence de flot sanguin, signifiant que l’organe est bien préservé.

    En plus d’augmenter la précision des chirurgies, la technologie d’imagerie par fluorescence aide à réduire les taux de complications et à accélérer la récupération. Elle permet également d’effectuer des chirurgies d’une grande complexité, ce qui peut avoir comme résultat d’éviter une greffe.

    Ainsi, les petits patients peuvent retourner plus rapidement à leur vie d’enfant.

    « Quand on utilise l’appareil, c’est comme si des étoiles s’illuminaient : on voit exactement où il faut intervenir. En rendant possible l’acquisition de cet appareil, les donateurs ont donné à nos équipes les moyens d’offrir des solutions médicales issues des plus récentes avancées. Ce sont les enfants du Québec tout entier qui en bénéficieront! »

    Dre Caroline Lemoine CHIRURGIENNE

Soigner les yeux d’un plus grand nombre d’enfants

Les ophtalmologistes de Sainte-Justine avaient à cœur de soigner le plus d’enfants possible, mais faute d’espace et d’équipements, ils n’y arrivaient pas. Grâce à la générosité des donateurs, il a été possible d’ouvrir deux nouvelles salles d’examen dans la clinique d’ophtalmologie. Dès cet automne, pas moins de 5000 enfants de plus pourront être soignés chaque année par les plus grands spécialistes de la vision du Québec.

Mellina, 7 ans, suivie par les ophtalmologistes du CHU Sainte-Justine depuis sa naissance prématurée à 25 semaines et 5 jours.
  • Vous nous permettez d’accélérer la prise en charge de centaines d’enfants.

    On dit que les yeux sont nos fenêtres sur le monde. Les dix membres de la clinique d’ophtalmologie du CHU Sainte-Justine – la deuxième en importance au Canada – ne sauraient dire mieux. En fournissant chaque année une gamme de soins variés à quelque 15 000 enfants de partout dans la province, ces spécialistes de la vision jouent un rôle crucial pour la santé des enfants.

    Ils traitent les cas plus urgents et les plus complexes, comme le rétinoblastome, le cancer de l’œil le plus fréquent chez l’enfant, mais offrent aussi des soins de base à des clientèles plus vulnérables.

    «Notre clientèle est composée des plus petits prématurés aux grands adolescents. Toutes les surspécialités sont représentées, comme les chirurgies, les maladies de la rétine et les glaucomes. En fait, nous sommes le centre de référence pour plusieurs maladies oculaires pour l’ensemble du Québec.»

    Dr Patrick HamelChef du service d’ophtalmologie

    L’objectif : réduire la liste d’attente

    Étant donné la vaste clientèle à desservir, la clinique d’ophtalmologie faisait depuis quelques années face à une longue liste d’attente. Mais tout cela est sur le point de changer : grâce à vous chers donateurs, deux nouvelles salles d’examen pourront bientôt être aménagées avec des équipements de pointe. De plus, de nouveaux instruments portables permettront aux soignants de se rendre plus facilement au chevet des patients, notamment dans l’unité néonatale.

    Ainsi, il sera possible de voir environ 100 patients de plus par semaine, soit quelque 5000 de plus chaque année.

    Ce projet qui change le quotidien de milliers d’enfants n’aurait pas pu voir le jour sans votre générosité.

Un lieu rassurant pour les familles de tout le Québec

Humanisation des soins

Au CHU Sainte-Justine et à son Centre de réadaptation Marie Enfant (CRME), le patient et sa famille sont au centre des préoccupations. Offrir des soins humains est un engagement, au quotidien. Cet engagement prend racine dans la bienveillance, si centrale à l’institution, et se traduit en actions concrètes, grâce à votre générosité.

Avec votre précieux soutien, la Fondation peut continuer de soutenir des projets novateurs visant à placer toujours davantage les patients et leur famille au cœur des soins. En voici deux exemples auxquels vous avez contribué.

C’est difficile de voir son enfant vivre au rythme des cycles de chimio. Sainte-Justine est un monde à part. On nous explique, on nous écoute. Pendant près d’un mois, c’était notre maison.
Alicia Maman de Mia, 6 ans, traitée à Sainte-Justine pour une leucémie lymphoblastique aigüe de type B

Démystifier la prise de sang

Au moment où vous parcourez ces lignes, vos dons sont notamment mis à profit pour créer un environnement plus accueillant pour les familles visitant le centre de prélèvements. Dans les semaines à venir, une fresque colorée viendra égayer la salle d’attente, guidant de manière ludique les enfants à travers les différentes étapes d’une prise de sang.

Votre impact est grand! Le centre de prélèvement du CHU Sainte-Justine accueille environ 200 patients par jour.

Les petits comme les grands y trouveront des réponses à des questions comme « Est-ce que ça va faire mal ? » ou « Quelle quantité de mon sang sera prélevée ? »

La distraction positive est largement reconnue pour favoriser la relaxation du patient, réduire l’anxiété et même atténuer la perception de la douleur.

En plus de la fresque, l’intégration de nouveaux éléments visuels distractifs dès l’entrée, dans l’espace de jeu de la salle d’attente, et jusqu’à la consultation avec un technologiste médical, aidera à clarifier le cheminement du patient au sein du centre de prélèvement. Cette initiative ajoutera en même temps une touche divertissante et rassurante à l’expérience de la prise de sang.

Amener les bienfaits de la musique au chevet des patients

Des performances musicales, organisées en partenariat avec la Société pour les arts en milieu de santé (SAMS) et propulsées par votre générosité, animent les étages du CHU Sainte-Justine et du Centre de réadaptation Marie Enfant (CRME) depuis décembre dernier. Des artistes talentueux, en solo ou en duo, sont déjà venus à la rencontre de nombreux enfants et de mamans en devenir, notamment la clientèle du Centre intégré des troubles alimentaires, de l’unité des grossesses à risque élevé, des soins intensifs pédiatriques et de l’unité d’hébergement du CRME.

Nous avons eu le privilège d’accueillir une harpiste au CRME. Les enfants ont été enchantés par sa performance. Au sein de l’unité des grossesses à risque élevé, le concert que nous avons organisé a suscité de grandes émotions. À chaque fois, la musique s’avère une source d’apaisement pour les patients. Merci de nous aider à leur offrir ces précieux moments!
Rachel Tremblay-Belanger Cheffe du Service des bénévoles, CHU Sainte-Justine

La musique contribue à adoucir l’expérience des patients. Elle peut jouer un rôle important en favorisant la relaxation, en réduisant l’anxiété et la douleur, tout en améliorant l’humeur ainsi que la qualité des interactions humaines et des relations de soin.

L’objectif, avec votre précieux soutien, est de continuer à offrir ces prestations majestueuses à un maximum d’enfants et de futures mamans dans les mois et années à venir — avec une emphase sur la clientèle hospitalisée.

Main dans la main pour la relève et les générations futures

Les Fonds académiques

Le CHU Sainte-Justine est le plus grand centre universitaire mère-enfant au Canada et 80 % des pédiatres québécois y complètent leur formation. Il y a 25 ans, des médecins dévoués décidaient d’approfondir leur engagement en soutenant la mission d’enseignement du CHU avec des dons personnels : c’est ainsi que le tout premier Fonds académique a été créé en 1998.

Depuis, vos généreuses contributions s’unissent aux leurs – notamment via le programme de bourses en jumelage de fonds de la Fondation CHU Sainte-Justine – pour soutenir la surspécialisation de médecins d’ici et d’ailleurs, en permettant un précieux partage d’expertises dont émergent les innovations les plus prometteuses.

Cette alliance entre médecins et donateurs est aussi unique que porteuse. Aujourd’hui, les Fonds académiques s’inscrivent dans 28 départements et services de l’hôpital et les contributions totalisent près de 30 millions de dollars, ayant permis de distribuer des bourses à quelque 500 moniteurs cliniques (fellows).

L’avenir commence ici, et l’héritage que vous offrez en contribuant aux Fonds académiques est impérissable. Merci d’unir vos forces aux nôtres.

La Dre Gabrielle Gour-Provençal : une physiatre de Sainte-Justine à Paris

« On me dit souvent ici qu’il doit être difficile de partir en fellowship. Il est plutôt difficile à envisager pour moi de ne pas l’avoir fait. Explorer d’autres approches, se remettre en question, élargir son réseau, combiner les savoirs et les bonifier : rien de mieux pour éviter que les connaissances stagnent ! »
Dre Gabrielle Gour-Provençal MONITRICE CLINIQUE (fellow)
  • Vous donnez des ailes à cette jeune recrue qui voit grand pour la physiatrie pédiatrique au CHU Sainte-Justine

    « C’est pendant mon externat, au détour d’un stage à option, que j’ai découvert Sainte-Justine. Dès les premiers jours, j’ai dit à la cheffe du service de médecine physique et réadaptation : Dre Laberge-Malo, je vais revenir travailler ici un jour. »

    Gabrielle Gour-Provençal débute son parcours professionnel en tant que thérapeute du sport auprès de multiples organisations sportives de haut niveau, dont le CF Montréal. Elle complète ensuite son doctorat en médecine, puis sa résidence en médecine physique et réadaptation – jumelée à une maîtrise en sciences biomédicales – à l’Université de Montréal. La physiatrie pédiatrique, qui s’intéresse au diagnostic, au traitement médical et à la rééducation des pathologies neuro-musculosquelettiques, a été un réel coup de foudre pour elle.

    « J’y retrouve tout ce qui est fondamental pour moi en médecine : le contact privilégié et la proche collaboration avec les patients et les familles, le travail d’équipe multidisciplinaire, l’innovation technologique, et plus encore ! Par effet miroir, les enfants font renaître en nous l’émerveillement. C’est notre avenir qui se joue avec eux : optimiser leur qualité de vie et les aider à atteindre leur plein potentiel bénéficiera à toute la société. »

    Aujourd’hui, avec votre soutien, la Dre Gour-Provençal complète une formation complémentaire d’un an à Paris, à l’Hôpital Armand Trousseau et aux Hôpitaux Saint-Maurice – deux centres de référence pour l’ensemble du territoire français jouissant d’une réputation internationale en ce qui a trait aux dysraphismes (malformations de la moelle épinière), aux malformations de membres et autres pathologies neuro-musculosquelettiques.

    « C’est extraordinaire, ce à quoi je suis exposée en matière de volume de patients, de pathologies parfois très rares et de diversité des interventions. En contrepartie, on m’invite notamment à mettre de l’avant l’approche de partenariat de soins en collaboration avec l’enfant et sa famille, une notion phare à Sainte-Justine que je suis fière de porter ici. »

    La Dre Gour-Provençal reviendra dès septembre 2024 avec une expertise poussée dans l’évaluation et la prise en charge globale de jeunes avec une atteinte pathologie neuro-musculosquelettique et/ou en situation de polyhandicap. Ses apprentissages profiteront entre autres aux équipes du Centre de réadaptation Marie Enfant (CRME), de sorte que des patients et des familles de tout le Québec en bénéficieront.

    « J’ai si hâte de lancer ma pratique à Sainte-Justine. Grâce à mon fellowship, j’ai maintenant les outils pour concrétiser plusieurs projets : mettre en place une trajectoire plus intégrée, notamment dans la transition vers les soins pour adultes; offrir de nouvelles consultations en sport adapté; poursuivre le développement d’un réseau international d’experts… tant de portes se sont ouvertes! Une bourse en jumelage de fonds, ça change notre vie comme médecin, et d’innombrables vies par la suite. Du fond du cœur, merci. »

    Dre Gabrielle Gour-ProvençalMONITRICE CLINIQUE (fellow)

Le Dr Gianluca D’Onofrio : ici pour l’avancement de la neuropédiatrie

« Quand je suis arrivé au CHU Sainte-Justine, j’agissais comme un pédiatre ayant des connaissances en neuropédiatrie. Aujourd’hui, j’ai réellement l’approche d’un neuropédiatre. Mon parcours a été transformé et je suis extrêmement reconnaissant. »
Dr Gianluca D’Onofrio moniteur clinique (fellow)
  • Grâce à vous, les talents et les idées circulent pour le mieux-être des enfants et des familles de tout le Québec, et bien au-delà

    « Montréal est une vraie plaque tournante, une ville cosmopolite où il fait bon vivre. À Sainte-Justine, on côtoie des soignants, des chercheurs et des familles de partout. C’est si enrichissant, tant professionnellement que personnellement. Et je suis fier d’y avoir contribué aussi. »

    Originaire d’Italie, le Dr Gianluca D’Onofrio complète ses études de médecine à Naples et à l’Université de Strasbourg, en France. Il entreprend ensuite une résidence en pédiatrie à Padoue, puis un doctorat en neurologie pédiatrique à Gênes. C’est ici que s’inscrit son fellowship de deux ans à l’Université de Montréal (UdeM) et au CHU Sainte-Justine, qui le compte parmi son équipe d’experts des pathologies du cerveau de l’enfant depuis juillet 2022, grâce à une bourse en jumelage de fonds.

    « J’ai la chance de côtoyer des médecins de très haut niveau, avec des surspécialités des plus inspirantes : neuro-oncologie, neurogénétique, maladies neuro-inflammatoires, neurovasculaires et neuromusculaires, céphalées, troubles du mouvement, épilepsie… Je pense au Dr Aris Hadjinicolaou, mon superviseur clinique, et à tant d’autres collègues qui ont fait preuve d’une générosité et d’une ouverture exceptionnelles à mon égard. Ce sont des relations précieuses à cultiver à long terme. »

    Parallèlement à sa formation et à son rôle de soignant, le Dr D’Onofrio est tuteur à l’UdeM et membre actif de la Ligue canadienne contre l’épilepsie. Surtout, en tant que moniteur clinique (fellow) qui aspire à devenir clinicien-chercheur, il participe à divers projets de recherche, comme ceux de la Dre Elsa Rossignol, canadienne de recherche sur la neurobiologie de l’épilepsie.

    Le Dr D’Onofrio collabore aussi avec le Dr Sébastien Perrault, ayant lui-même bénéficié d’une bourse en jumelage de fonds en 2011, actuellement à la tête d’une équipe de recherche bénéficiant du soutien de la Fondation CHU Sainte-Justine depuis 2018. En tant que co-auteur d’une étude de cas s’intéressant au potentiel thérapeutique du trametinib – un médicament prometteur, notamment face à l’épilepsie réfractaire – le Dr D’Onofrio se promet de faire rayonner les travaux réalisés au Centre de recherche Azrieli du CHU Sainte-Justine en Europe.

    « Partout à travers le monde, les besoins en santé deviennent plus importants, plus complexes, plus ciblés. Les bourses en jumelage de fonds sont essentielles : sans ce soutien financier et ce gage de confiance, comment entreprendre des formations complémentaires de si longue durée? Après un fellowship, les connaissances sont perfectionnées, les soins sont améliorés, les médecins sont mieux préparés à accompagner leurs patients et à gérer les ressources. C’est un vrai cadeau qu’on se fait collectivement. »

    Dr Gianluca D’OnofrioMONITEUR CLINIQUE (fellow)

    Merci d’avoir contribué à propulser le Dr D’Onofrio vers de nouveaux sommets. Grâce à vous, d’innombrables enfants d’ici et d’ailleurs bénéficieront des fruits de sa brillante carrière à venir.

En soutenant ces initiatives, vous donnez aux équipes du CHU Sainte-Justine les moyens de voir grand. Vous ouvrez le champ des possibles et contribuez à transformer le parcours de vie de milliers d’enfants et de familles, partout à travers le Québec.

Two hands making a heart shape